Nichita stanescu : « Au nord du nord ».
Et même ce qui n’existe pas peut mourir, pareil à la vie d’un animal boréal dont nous n’avons jamais su de quoi était fait l’état crépusculaire. Il apparaissait parfois dans ta manière de marcher, mais j’étais trop somnolent pour le voir. Parfois il chantait...